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Ce que beaucoup redoutaient s’est finalement concrétisé : une majorité relativement nette des habitants du Royaume-Uni s’est prononcée en faveur de la sortie de l’Union européenne. Alors que les sondages effectués ces derniers jours donnaient une petite longueur d’avance aux partisans du ‘remain’, 52 % des Britanniques ont fini par plébisciter la sortie de l’Europe, le fameux ‘Brexit’. Nous nous trouvons donc à l’aube d’une période d’incertitude et de grande volatilité sur les marchés financiers.
Ce matin déjà, les marchés ont ouvert sur une note clairement négative :
À court terme, nous nous attendons à ce que les différentes banques centrales annoncent des mesures ou interviennent sur les marchés afin d’endiguer l’escalade. À titre d’exemple, la Banque centrale suisse a déjà pris des mesures afin d’éviter toute appréciation trop importante du franc suisse. La BCE poursuit son QE (quantitative easing), son programme de rachat d’obligations d’État et d’entreprise, et pourrait décider d’accélérer les rachats pour éviter des hausses de spreads jugées trop importantes. La Banque centrale américaine redoublera vraisemblablement de prudence avant de mettre en œuvre de nouvelles hausses de taux.
À un peu plus long terme, c’est une période d’incertitude politique qui s’annonce. L’Union européenne et le Royaume-Uni ont deux ans pour négocier un nouvel accord de coopération, un délai qui pourrait éventuellement être prolongé. Si les deux parties ont tout intérêt à mener à bien ces négociations dans les plus brefs délais, l’UE ne souhaite pas pour autant faire preuve de trop de souplesse. Une sortie rapide et sans heurts qui n’aurait pas trop de répercussions sur le plan économique pourrait en effet doper les partis séparatistes dans d’autres pays d’Europe. Ce matin, Marine Le Pen en France et Geert Wilders aux Pays-Bas ont déjà appelé à la tenue d’un référendum, comme il fallait s’y attendre.L’impact sur l’économie de la zone euro devrait pouvoir être relativement limité. Tant qu’aucun nouvel accord n’est conclu avec Londres, la plupart des économistes tablent sur une baisse de croissance du PIB de 0,1 % à 0,2 %. Au Royaume-Uni, la croissance pourrait chuter de 1 % à 2 % en raison des investissements d’entreprise qui seront vraisemblablement mis en attente. Une partie de cette baisse devrait toutefois être compensée par la dépréciation de la livre sterling, ce dont devraient bénéficier les sociétés exportatrices.
Que ce soit en Branche 21 ou en Branche 23, le portefeuille d’AG Insurance ne comprend que peu d’investissements au Royaume-Uni.
Il ne fait aucun doute que l’issue du référendum sera source d’incertitude et de regain de volatilité sur les marchés financiers dans les jours et les semaines à venir. Une réaction excessive des marchés pourrait même former une opportunité d’achat pour les actions de nature plutôt défensives et les obligations de qualité.Les équipes d’AG Insurance chargée des investissements et de la gestion des risques suivent de très près l’évolution de la situation et des marchés.
(*) liste des fonds stratégiques (consultez les valeurs d’unités et prestations des fonds d’AG Insurance : Particuliers / Employee Benefits)
Fonds purs :AG Life Equities EuroAG Life Equities WorldAG Life Bonds EuroAG Life Bonds World
AG Life Equities GlobalAG Life Bonds Global
Rainbow Blue EuroRainbow BlueRainbow Red
CometCosmos
Fonds mixtes :AG Life StabilityAG Life balancedAG Life Growth
Rainbow IndigoRainbow GreenRainbow Orange
PlanetGalaxyUniverse